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Explications de vote écrites

Urgence climatique et environnementale (RC-B9-0209/2019, B9-0209/2019, B9-0211/2019, B9-0212/2019, B9-0215/2019, B9-0216/2019, B9-0218/2019, B9-0220/2019)

28-11-2019

J’ai voté en faveur de cette résolution sur l’urgence climatique et environnementale. Le texte déclare l’état d’urgence climatique et environnementale. Il indique que le Parlement européen s’engage à prendre d’urgence les mesures concrètes nécessaires pour lutter contre cette menace et la contenir avant qu’il ne soit trop tard. Il invite la Commission, les États membres ainsi que tous les acteurs mondiaux faire de même, étant entendu que l’Union européenne n’est responsable que de moins de 10 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre.

Situation en Bolivie (RC-B9-0187/2019, B9-0187/2019, B9-0188/2019, B9-0189/2019, B9-0190/2019, B9-0191/2019, B9-0192/2019)

28-11-2019

J’ai voté en faveur de cette résolution sur la situation en Bolivie. Le texte dénonce fermement les violences et les destructions qui ont suivi l’élection du 20 octobre 2019 et demande que les responsables soient traduits en justice. Il salue le rôle de médiatrices joué par l’Union européenne et l’Église catholique, dont les efforts ont contribué à dégager un accord entre les parties en présence sur la tenue d’élections transparentes, inclusives et libres dans les délais prévus et dans le respect de la constitution bolivienne.

Mobilisation du Fonds de solidarité de l'Union européenne aux fins du paiement d'avances dans le cadre du budget général de l'Union pour 2020 (A9-0036/2019)

27-11-2019

J’ai voté en faveur de ce rapport sur la mobilisation du Fonds de solidarité de l’Union européenne aux fins du paiement d’avances dans le cadre du budget général de l’Union pour 2020. Le texte inscrit au budget général de l’Union pour l’année 2020 le montant de 50 millions d’euros pour permettre un versement rapide et efficace d’avances au cas où des États membres seraient frappés par des catastrophes naturelles en 2020.

Mobilisation de l'instrument de flexibilité aux fins du financement de mesures budgétaires immédiates pour faire face aux défis actuels liés à la migration, à l'afflux de réfugiés et aux menaces pesant sur la sécurité (A9-0039/2019 )

27-11-2019

J’ai voté en faveur de ce rapport sur la mobilisation de l’instrument de flexibilité aux fins du financement de mesures budgétaires immédiates pour faire face aux défis actuels liés à la migration, à l’afflux de réfugiés et aux menaces pesant sur la sécurité. Le texte permet de mobiliser 778 millions d’euros supplémentaires au bénéfice du Fonds Asile Migration Intégration, du Fonds de sécurité intérieure et de FRONTEX, avec notamment pour objectif de renforcer les frontières extérieures de l’UE.

Mobilisation du Fonds de solidarité de l’Union européenne pour venir en aide à la Grèce (A9-0040/2019)

27-11-2019

J’ai voté en faveur de ce texte qui propose de mobiliser le Fonds de solidarité de l’UE (FSUE) pour un montant de 4 552 517 euros afin de venir en aide à la Grèce qui a subi des inondations et des glissements de terrain en février 2019. Ce texte manifeste la solidarité de l’Union vis-à-vis de ses États membres frappés par des catastrophes naturelles.

Les droits de l'enfant à l'occasion du 30e anniversaire de la convention des Nations unies relative aux droits de l'enfant (B9-0178/2019, B9-0179/2019, B9-0180/2019)

26-11-2019

Je me suis abstenue sur cette résolution relative aux droits de l’enfant à l’occasion du 30e anniversaire de la convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant. Si ce texte contenait des dispositions que je soutiens pour mieux lutter contre la maltraitance et les violences sexuelles, il contenait aussi des paragraphes inacceptables en matière migratoire, proposant notamment de ne pas tenir compte du statut migratoire (clandestin ou régulier) des mineurs, de rendre impossible leur placement en Centre de Rétention Administratif, pourtant nécessaire afin de procéder à leur reconduite. Je refuse de cautionner un texte qui contient des mesures contraires à l’intérêt réel des mineurs et qui, par son laxisme, encourage de fait les filières de passeurs. Je n’accepte pas le dévoiement de la filière de l’asile et les arrivées massives de mineurs non accompagnés (MNA), en grande majorité des jeunes hommes, sur le territoire de l’Union. En France, nos départements doivent supporter la prise en charge de près de 40 000 MNA, dont certains sont de faux mineurs, pour un coût annuel de plus de 2 milliards d’euros financés par les contribuables. Les États d’origine, essentiellement africains et pour certains considérés comme pays sûrs, doivent assumer leur responsabilité vis-à-vis de leur jeunesse.