J’ai voté en faveur de ce rapport sur la qualité de l’air ambiant et un air pur pour l’Europe. Ce texte, qui appartient au paquet «zéro pollution», fixe des limitations plus strictes en ce qui concerne la pollution, promeut des technologies plus propres et crée un cadre permettant de faire face aux enjeux de la pollution de manière plus coordonnée et intégrée. Au moment où la pollution extérieure tue chaque année 48 000 personnes prématurément en France, pour un coût sanitaire de 100 milliards d’euros, il participera à l’objectif de réduction, d’ici 2030, de plus de 55 % des effets de la pollution atmosphérique sur la santé, et de baisse de 25 % du nombre d’écosystèmes de l’Union dans lesquels la pollution atmosphérique menace la biodiversité.